Documents et vidéos à voir et à revoir

Le Monde selon Monsanto : réalisé par Marie-Monique Robin - Arte
Après une enquête implacable de trois ans menée en Amérique du nord et du sud, en Europe et en Asie, ce film nous révèle le projet hégémonique de Monsanto, menaçant la sécurité alimentaire du monde mais aussi l’équilibre écologique de la planète. La vidéo

Une vérité qui dérange
:
documentaire d'Al Gore sur le réchauffement climatique.
Notre planète est menacée de mort, le compte à rebours a commencé. La communauté scientifique internationale s'accorde pour dire qu'il nous reste à peine dix ans pour éviter une catastrophe générale. Ce documents est en 5 parties:


Home: réalisé par Yann Arthus-Bertrand
En quelques décennies l’homme a rompu un équilibre de près de 4 milliards d’années d’évolution de la Terre et met son avenir en péril. Le prix à payer est lourd, mais il est trop tard pour être pes-simiste : il reste à peine dix ans à l’humanité pour prendre conscience de son exploitation démesurée des richesses de la Terre et changer son mode de consommation. La vidéo

Qu’a-t-on à perdre à devenir écolos?





Pierre-Thierry : J'ai trouvé ce texte bien sympathique et en voici un extrait ...

Rappelons-nous du célèbre pari du philosophe Blaise Pascal : celui qui parie sur l’existence de Dieu est forcément gagnant. Si Dieu existe, le fait d’y croire lui assurera la béatitude et les bonheurs éternels du paradis. Et s'il n’existe pas… il n'aura rien perdu non plus.

Le pari ne peut être que gagnant avec l'écologie. S’il est vrai que tous nos gestes comptent (ce que je crois), on sera bien heureux d’avoir contribué à un avenir meilleur. Si jamais tout ça ne change rien, notre "conversion" aura au moins servi à nous rendre la vie plus belle.

D’abord parce qu’on fait des économies : moins d’eau,
moins d’énergie, moins de nourriture… Puis parce qu’on préserve notre santé et celle de nos proches : manger des légumes de saison, consommer bio si possible, utiliser moins de produits chimiques

Et surtout : ça rend heureux.

Extrait, trouvé dans metrofrance – Nadia Loddo

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