Documents et vidéos à voir et à revoir

Le Monde selon Monsanto : réalisé par Marie-Monique Robin - Arte
Après une enquête implacable de trois ans menée en Amérique du nord et du sud, en Europe et en Asie, ce film nous révèle le projet hégémonique de Monsanto, menaçant la sécurité alimentaire du monde mais aussi l’équilibre écologique de la planète. La vidéo

Une vérité qui dérange
:
documentaire d'Al Gore sur le réchauffement climatique.
Notre planète est menacée de mort, le compte à rebours a commencé. La communauté scientifique internationale s'accorde pour dire qu'il nous reste à peine dix ans pour éviter une catastrophe générale. Ce documents est en 5 parties:


Home: réalisé par Yann Arthus-Bertrand
En quelques décennies l’homme a rompu un équilibre de près de 4 milliards d’années d’évolution de la Terre et met son avenir en péril. Le prix à payer est lourd, mais il est trop tard pour être pes-simiste : il reste à peine dix ans à l’humanité pour prendre conscience de son exploitation démesurée des richesses de la Terre et changer son mode de consommation. La vidéo

Visite à l’écocyclerie de Saint-Quentin en Mauges

Cette écocyclerie a un champ d’activité qui recouvre 6 com. com., 1000 km2 peuplés de 90 000 habitants. Après un diagnostic de territoire réalisé par l’Union des écocycleries, un bâtiment de 1800 m2 a été choisi à Saint-Quentin en Mauges.

Créée en 2006, elle travaille au départ avec les déchetteries, grâce à la mise à disposition de gardiens-valoristes sur 6 déchetteries. Ces gardiens interviennent auprès des usagers des déchetteries pour collecter ce qui peut être valorisé et l’amener à l’écocyclerie. Par exemple les plastiques (polystyrène, bidons, pots de fleur, films plastiques…) sont rachetés 150€/tonne par un prestataire privé qui les recycle (Auparavant, les communes devaient payer 90€/tonne pour le traitement et l’enfouissement de ces plastiques). Les bénéfices réalisés permettent de payer le salaire des 6 gardiens. A l’apport des déchetteries (80 % du total des apports), s’ajoutent des apports volontaires de particuliers.

Tout est trié, pesé par catégorie, pesé et stocké.
Nous avons vu en particulier :
l’espace textile : pour cela, le tri n’est pas fait sur place. Les textiles sont envoyés au chantier d’insertion ATIMA (à Beaupréau) qui fait le tri. Une partie est utilisé pour faire de l’isolant thermique. Les vêtements qui peuvent être revendus sont renvoyés à l’écocyclerie.
l’espace livre (tri sur place)
l’atelier-test : l’informatique, HiFi et vidéo sont vendus avec 3 mois de garantie.

A cette espace de stockage, fait suite une arrière boutique où les objets nettoyés, étiquetés sont rangés par catégorie prêts à être mis en vente.


Le magasin proprement dit est ouvert le vendredi après-midi et le samedi. Sont mis en vente des livres, vêtements, jouets, petit électroménager, vaisselle, salons de jardins, informatique, brocante, meubles…. 10% du tout venant est recyclé.

En prévision :
la création d’un atelier de restauration ou de démantèlement
la création d’une salle de sensibilisation à l’environnement.

Cette écocyclerie permet d’employer 12 personnes en réinsertion (1 à 22h, plusieurs à 16h ou 8h par semaine)soit au total 100 à 120 h par semaine payées avec les recettes du magasin.

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